Ashoka Reiki


- Ethique & Permission -



L'éthique :

Le REIKI est avant tout une méthode de Développement personnel à but spirituel.
Celui-ci passe par le traitement du corps « un esprit sain dans un corps sain » mais ne se borne pas à celui-ci.

Le REIKI, comme toute méthode de « médecine non-conventionnelle » (que l’on appelle souvent à tort médecine douce, alternative, parallèle…) peut accompagner un traitement médical mais il ne doit pas s’y substituer si celui-ci est nécessaire.

Le praticien REIKI n’est pas un médecin. Il ne doit pas donner de diagnostic ni faire de prescription médicale de quelque nature que ce soit, ni demander l’arrêt d‘un traitement médical en cours.
Il ne doit faire aucune manipulation du corps du receveur (et de son esprit…). Il peut tout au plus conseiller de consulter un médecin ou un thérapeute s’il pense que cela aiderait le receveur.

Le praticien ne doit influencer d’aucune manière le receveur, et ce à tous les niveaux ; il doit respecter son libre arbitre.

Il se doit d’informer le receveur des éventuels effets du REIKI et ne pas présenter le REIKI
comme étant une méthode de soin « miracle ».

Le praticien ne doit pas imposer une séance REIKI ni exiger un nombre pré-défini de séances.
C’est au receveur de décider à son rythme s’il veut poursuivre les séances.

Le REIKI se pratique toujours habillé, le praticien se doit de respecter cela ainsi que de ne faire aucune
recommandation contraire à la morale.

Il se doit également de respecter la confidentialité des informations personnelles qu’il pourrait recevoir de la part du receveur.


Faut-il avoir absolument l’autorisation du receveur pour pratiquer le REIKI sur lui ?

Certains affirment que oui, sans condition. D’autres émettent quelques réserves, à savoir dans les cas d’urgence, comme cité ci-dessus, dans le cas où la personne est dans le coma et ne peut vous donner son autorisation, dans le cas d’un bébé, et dans le cas général où vous n’avez matériellement pas le temps de vous perdre en explications et tergiversations…

Si votre conscience vous titille à ce sujet, vous pouvez détourner le problème de la manière suivante.
Vous demandez à l’Ame du receveur si elle vous autorise ou pas à pratiquer sur lui.
Vous pouvez également simplement affirmer cela avant de commencer « X…, je te propose de recevoir le REIKI, tu peux l’accepter ou le refuser. Si tu le refuses cela n’aura pas d’incidences » ou une phrase de ce genre à votre convenance.

Certains praticiens demandent même l’autorisation à l’Ame de la personne même si celle-ci leur a donné leur autorisation (!)

Tout ceci relève de tergiversations ésotériques. Le REIKI doit rester simple. Lorsqu’il vous arrive de prier (ou pour ceux pour qui c’est une pratique courante), demandez-vous l’autorisation de le faire ?
et pourtant les prières ont un réel pouvoir. C’est aussi un message envoyé à l’Univers.

Il arrive même parfois que le seul fait de penser à la personne qui pourrait avoir besoin de votre aide suffise à ce que
l’Energie soit activée et que le soin commence. Donc…

Le seul point qu’il faut respecter c’est de ne pas pratiquer sur une personne qui vous a catégoriquement dit « non ! »,
c’est tout !



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